Pour le premier numéro (papier et numérique)

Nous pourrions faire un premier numéro de présentation dans lequel l'intégralité des contenus seraient de notre cru.

D'une part cela nous ferait un bon entrainement et si ce numéro marche (ou ne marche pas) il deviendra intéressant et sera vu comme une sorte de "tentative" et non pas un manifeste dogmatique.



Ainsi nous pourrions avoir:

•Pour la réédition: Le manuel d’Épictète.

•Pour les textes de création littéraire: des textes d'antoine/ je peux écrire quelque chose avec mon oncle/ léandre/ j'ai rencontré au Cipm 2-3 types de notre âge qui vont être publiés par CCP je peux leur demander de m'envoyer des textes/...

•Pour les textes intellectuels: La tyrannie du décor de l'arachnide  (un peu remaniée ou allégée?) / Napoli / Corruption et démocratie / Le soin/ l'urbanisme par le berger(?) / la stratégie d'entreprise par le ptit gars(?)

•Pour les illustrations/ photos: des choses d'ania, de marion, de marie, pierre Faure(?),... de connaissances


>>>>>>> Le fil conducteur intellectuel de ce numéro pourrait alors être l'éthique:

Pour le titre du numéro nous pourrions à chaque fois prendre un mot simple polysémique.
Par exemple pour celui-ci je pensais à "Travers" ou Ouverture d'après l'idée du tondu


- Dans le sens de défaut (un manque d'éthique)

- Mais également une fantaisie

- Pièce horizontale dans un dispositif qui permet de relier des pièces éloignées

- Car notre objectif serait de traverser les choses déjà existantes


1.
Pour les textes de réflexion: le cinéma, l'initiative napolitaine, la corruption, la démocratie, le soin, l'urbanisme et la stratégie d'entreprise sont concernés par les enjeux éthiques.

2.
Dans les textes de création c'est tout à fait possible d'incorporer ce fil conducteur (surtout dans la forme!) // de même pour les illustrations et la photo

3.
Avec épictete cela coule de source.

4.
Et dans la forme même de l'objet: une éthique appliquée au graphisme, à l'esthétique,... Pourquoi telle typographie et telle forme/agencement > la radicalité de notre objet est éthique car elle engage des modes production, de réflexion, de conception, de diffusion ainsi qu'un engagement personnel et politique. Et il est question de contrer la façon de penser qui est encore celle des citadelles éditoriales.


>>>>>> si tout cela est mené à bien je pense que l'on peut demander à Bernard Stiegler/Edwy Plenel de faire la volteface(?).



Nous aurions alors un sacré premier numéro. Allons y doucement mais sûrement et nous ferons ça bien!



L'important reste avant tout de garder un esprit ludique en fuyant le sérieux trop mortifère de ce genre de revues qui foisonnent. Garder à l'esprit cette phrase de Tristan Tzara:


"des personnages édition unique apparaissent récitent ou se suicident, va et vient, la joie du peuple, cris ; le mélange cosmopolite de dire et de BORDEL"




D'autant plus que:

Suite à une discussion avec mon responsable de Master et l'idée a germé d'essayer d'organiser un séminaire de philosophie vers mars/avril (lié à notre master du coup et obligatoire pour nous) à la Demeurée sur la thématique suivante:

(Il y a plusieurs séances mais celle organisée à la Demeurée serait consacrée aux "communautariens" notamment Fourrier/ Saint-simon/ Wittgenstein/ Michael Sandel/ et la critique :Charles Taylor/ John Rawls) (C'est encore à préciser car la logistique serait conséquente: 10aine d'étudiants+plusieurs professeurs et intellectuels sur 2 ou 3 jours).


"L'éthique contemporaine se résume-t-elle de facto à l'alternative entre l'utilitarisme et le néo-kantisme ou bien une éthique du bien est-elle disponible, sans emporter de postulats qui la rendrait inactuelle ?"


Donc on pourrait imaginer organiser cela pour le lancement du premier numéro, cela serait fracassant.


Concernant le volet numérique,

nous pourrions rajouter des vidéos , faire des choses interactivres mais il faut réflechir à tout cela...